Source: https://greenletter.mylittleparis.com/diaporama/cooperatives-licornes#1
Si leurs fondateurs avaient décidé de créer des start-ups, ils seraient
peut-être millionnaires. Mais à la richesse individuelle, ils ont
préféré l’intérêt collectif – en créant plutôt des coopératives. Coup de projecteur sur les « LiCoornes » : ces animaux fantastiques qui galopent tous ensemble vers un avenir commun.
peut-être millionnaires. Mais à la richesse individuelle, ils ont
préféré l’intérêt collectif – en créant plutôt des coopératives. Coup de projecteur sur les « LiCoornes » : ces animaux fantastiques qui galopent tous ensemble vers un avenir commun.
Commown : N’achetez plus de téléphone
Changer d’iPhone tous les 18 mois, est-ce bien responsable ? Evidemment que non. Non seulements nos smartphones sont bourrés de métaux rares, mais en plus, ils sont très peu recyclés : pour l’instant, seul 1 iPhone sur 100 est recylé… Pour aller vers un usage plus responsable de la technologie, Commown propose des objets high tech à louer. Téléphones, ordinateurs, casques audio…
Tous leurs objets sont éco-conçus, recyclables et réparables. Ne plus
être propriétaire d’un objet, mais locataire d’un service : ça s’appelle
l’économie d’usage et c’est la meilleure manière de réduire notre
empreinte technologique.
Tous leurs objets sont éco-conçus, recyclables et réparables. Ne plus
être propriétaire d’un objet, mais locataire d’un service : ça s’appelle
l’économie d’usage et c’est la meilleure manière de réduire notre
empreinte technologique.
Plus d’infos sur Commown
Label Emmaüs : La boutique en ligne avec vos valeurs
Emmaüs, au départ, c’est d’abord un projet de réinsertion des personnes.
Depuis l’auberge de jeunesse créée en 1949 par l’Abbé Pierre, l’idée a
bien grandi : boutiques solidaires, et surtout, un site e-marchand «
vraiment humain ». À plein de points de vue, c’est une mine d’or : pour
leurs newsletters constellées de superbes citations de l’Abbé Pierre («
Une deuxième vie pour les objets, une seconde chance pour les hommes »),
comme pour les pièces vintage dont le site regorge.
Depuis l’auberge de jeunesse créée en 1949 par l’Abbé Pierre, l’idée a
bien grandi : boutiques solidaires, et surtout, un site e-marchand «
vraiment humain ». À plein de points de vue, c’est une mine d’or : pour
leurs newsletters constellées de superbes citations de l’Abbé Pierre («
Une deuxième vie pour les objets, une seconde chance pour les hommes »),
comme pour les pièces vintage dont le site regorge.
Railcoop : le grand retour des petits trains
Victimes de la course constante à l’accélération et au rétrécissement de l’espace-temps, les trains de nuit ont bien failli disparaître. Post-confinement, la diminution du trafic aérien intérieur paraît leur annoncer un horizon plus dégagé… Et c’est si c’est le cas, ce sera notamment grâce à Railcoop : la coopérative veut récupérer les lignes abandonnées par la SCNF pour les remettre en exploitation. Premier objectif ? La réouverture de la ligne Bordeaux-Lyon (via Montluçon), prévue pour 2022.
L’Atelier Paysan : les Géo Trouvetou des champs
Le confinement a remis dans la lumière les métiers essentiels… et surtout leur cruel manque de considération. Comme les agriculteurs qui, pour nous nourrir, sont 50 % à gagner moins de 350 euros par mois. La faute notamment à une course à l’équipement high tech qui endette les exploitations. L’Atelier Paysan les aident à reprendre le contrôle : leur Index des Trouvailles Paysannes
est une sorte de concours Lépine 2.0 version ferme, où des Géo
Trouvetou des champs partagent et améliorent leurs inventions :
triangles d’attelages, hangars auto-constructibles ou même le célèbre « cultibutte ». Mais ici, pas de brevets : que du collectif.
est une sorte de concours Lépine 2.0 version ferme, où des Géo
Trouvetou des champs partagent et améliorent leurs inventions :
triangles d’attelages, hangars auto-constructibles ou même le célèbre « cultibutte ». Mais ici, pas de brevets : que du collectif.
La suite du monde : l’avenir devant soi
Et si, un jour prochain, la pompe à essence se tarissait ? Les diligences
feraient leur grand retour – ainsi que tous les relais de poste et auberges qui parsemaient leurs grands axes. Parce que les membres de la coopérative La Suite du Monde ne sont pas hyper optimistes sur l’Après, ils s’organisent au sein de Communes Imaginées : des terres achetées en commun et mises à
disposition des coopérateurs – et où l’on peut dormir dans des Auberges
(bien réelles, elles). À Bandiat, près de Toulouse, de Paris ou de
Montreuil-sur-Mer, les projets sont nombreux et n’attendent qu’une chose: des bras et des bonnes volontés.
feraient leur grand retour – ainsi que tous les relais de poste et auberges qui parsemaient leurs grands axes. Parce que les membres de la coopérative La Suite du Monde ne sont pas hyper optimistes sur l’Après, ils s’organisent au sein de Communes Imaginées : des terres achetées en commun et mises à
disposition des coopérateurs – et où l’on peut dormir dans des Auberges
(bien réelles, elles). À Bandiat, près de Toulouse, de Paris ou de
Montreuil-sur-Mer, les projets sont nombreux et n’attendent qu’une chose: des bras et des bonnes volontés.
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